Marcher, créer - Déplacements, flâneries, dérives dans l'art de la fin du XXe siècle
Marcher, créer est un livre écrit par Thierry Davila et publié en 2002 par les Éditions du Regard. Ce livre explore les pratiques artistiques qui ont émergé à la fin du XXe siècle et qui se concentrent sur les déplacements, les flâneries et les dérives en tant que mode de création artistique.
Les déplacements artistiques
Les déplacements artistiques ont été explorés par plusieurs artistes tout au long du XXe siècle. En effet, certains artistes ont utilisé la marche comme moyen de créer de l'art. Par exemple, l'artiste Richard Long a créé des œuvres en parcourant des territoires naturels et en utilisant des éléments naturels comme matériaux. Ce genre d'art est connu sous le nom de Land Art.
La flânerie artistique
La flânerie artistique consiste à errer dans la ville sans but précis, en prenant le temps d'observer et de capturer les moments de beauté ou d'intérêt rencontrés en chemin. Cette pratique a été utilisée par les artistes surréalistes comme André Breton et les situationnistes comme Guy Debord.
Les dérives artistiques
Les dérives artistiques sont des pratiques qui consistent à dériver dans la ville en suivant des instructions, des règles ou des contraintes. Cette pratique a été popularisée par les situationnistes, qui ont créé des cartes psychogéographiques pour guider leurs dérives.
L'art contemporain et les déplacements
L'art contemporain continue d'explorer les pratiques de déplacement, de flânerie et de dérive comme moyen de création artistique. Les artistes contemporains utilisent ces pratiques pour explorer l'environnement urbain, la politique et la société.
En conclusion, Marcher, créer est un livre qui explore les pratiques artistiques de déplacement, de flânerie et de dérive en tant que mode de création artistique. Le livre présente des exemples d'artistes qui ont utilisé ces pratiques et explore comment ces pratiques sont utilisées dans l'art contemporain.
Sources
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Marcher est l'un des mouvements les plus sous-estimés et pourtant le plus important. Il est à la fois une forme de mouvement et de contemplation. Marcher est naturel et instinctif, mais c'est également un moyen de créer et de découvrir. C'est une manière de porter notre attention à la vie et aux choses qui nous entourent.
Le mouvement de marcher crée des déplacements et des périples inattendus, des flâneries qui nous mènent vers des endroits inconnus et qui nous font prendre conscience de notre environnement. La marche prend également la forme de «dérives», un mouvement conscient à travers les environnements urbains qui nous permettent de voir ce que nous n'observerions pas autrement. Elle se manifeste également sous diverses formes dans l'art, où elle est mise en scène à travers des performances, des installations et des sculptures.
Marcher est à la fois un moyen de déplacement et un moyen de méditation qui nous permet de comprendre et de voir le monde sous un jour nouveau. C'est une activité qui nous aide à étendre notre conscience et à cultiver une attitude de curiosité et de recherche.
Lorsque j'ai eu l'occasion de partir à l'étranger, j'ai été en mesure de voir des choses que je n'aurais jamais pu observer autrement. J'ai commencé à marcher tous les jours, à explorer mon environnement, à découvrir des parcs et des monuments dont je n'avais jamais entendu parler auparavant. Cette expérience m'a non seulement permis de voir des lieux nouveaux et exc ...